Crossed Destinies

Excellent le "toi tu as accompagné Jodie, t'es devenu aussi bête et inutile en gros ?"

A vrai dire toute l'oeuvre est excellente (y) <3 <3

La voiture de Mélanie se gara dans le parking personnel du QG.

Elle en sorti, puis lentement, se dirigea vers l'intérieur. L'agent du FBI ne fut pas étonné de ce qu'elle voyait. Dans le manga, entre les affaires de l'Organisation, Conan enquêtait sur des meurtres... seulement, cette faculté de s'attirer toutes les affaires du coin n'était pas donné à tous.

- J'ai des nouvelles, dit-elle.

Didi, Miriam et même Katze qui avait l'air de s'en battre les pattes, levèrent la tête.

- Tantei avait déjà parlé de Rum, avant.

Didi soupira.

- Oui. Mais Tantei est morte, ça nous est inutile.
- Moi j'étais là, répliqua Miriam. « Puisque nous avions collaboré sur une affaire. »

« Elle savait que ma sœur était impliquée ? Comment ? »

Et Miriam raconta toute l'histoire
.
Il s'agissait d'un tueur fortement suspecté d'être un membre de l'Organisation. Miriam et Tantei avaient donc, ce jour-là, fait équipe pour coincer cet homme.

L'histoire ressemblait fortement à celle d'Akai, à l'époque où il avait pris en chasse Vermouth à New York. Une longue aventure dans les rues de cette même grande ville. Sauf que cette fois-ci, c'était différent... l'homme s'était réfugié dans une maternelle, et avait pris deux femmes de ménage en otages, demandant à être laissé tranquille.

Ce qui n'avait pas collé, c'est justement ce point. L'Organisation n'irait jamais se lancer dans un tel procédé, voulant être méconnu du monde entier.

Bloqué, les deux jeunes femmes devaient se couvrir de la pluie battante. C'était ce même jour ou Conan, ME, Didi et Mélanie avaient collaboré avec le FBI pour poursuivre l'Organisation, lorsque Kogoro Mouri était menacé.

Tantei avait pu apercevoir l'homme. Le regard perçant qu'il lui avait jeté l'avait fait réfléchir.

- Un problème ? demanda Miriam.
- Cet homme... il me rappelle un membre de l'Organisation, expliqua Tantei. « C'était un pur hasard. Ce que je sais, c'est qu'un médecin légiste qui l'a aidé. Aujourd'hui, son œil droit est artificiel. »


Et la pluie s'arrêta.
Mélanie resta muette.

- ET ? Que fait-on ? s'étonna-t-elle.
- ET QUOI ? répondit Miriam. « On ne peut rien faire. »
- Ah oui pardon j'oubliais, tu traines avec Sato, donc t'as juste rien à voir avec l'affaire, je devrais arrêter de tout te dire.
- QUOI ? cria-t-elle.

BAM.

- SILENCE ! hurla Katze. « Je viens vous faire chier quand vous bouffer ? NON. Alors respect a ceux qui déjeunent MERCI. »

Katze continua de manger ses croquettes.

« Ce chat devrait être jeté dehors. »

- Je pense de toute manière que Rum est plus une affaire dont Postine, Marie, Eyto et Shuichi doivent s'occuper... insista Didi, qui avait déjà dit ça deux heures avant.
- Sans doute...

L'agent du FBI décidé de prendre un peu de repos, dans sa chambre.

Didi changea de chaine. Un flash info était diffusé, de la plus haute importance. L'inspecteur Nakamori ria devant les caméras. On reconnut aussi Heiji et Akim, aux alentours d'Osaka, qui devaient sûrement aider la police.

Sur la bande passante bleue, l'annonce d'un vol de Kaito Kid. Mais contrairement aux autres, cette fois-ci, aucun message n'avait été envoyé. Étonnant... étrange même.

- Qui sait conduire ici ? s'écria Didi.
- Moi, répondit Miriam. « Je te rappelle qu'on est plus que deux, hein ? »

« Rah la ferme. »

- À Osaka. Vite.
- C'est un vol du Kid, on s'en fiche, soupira Miriam.
- Non, pas cette fois.

Miriam leva un sourcil.
La nuit n'allait pas tarder à tomber.

L'inspecteur Nakamori avait expliqué que, le collier de plusieurs pierres précieuses se trouvant dans la petite vitrine, était un bijou des plus rarissimes. Une lettre avait été envoyé au commissariat le plus proche, indiquant qu'elle serait volée dans la soirée par le fantôme habillé de blanc, Kaito Kid. Le problème : aucune heure précise, ni d'énigme. Très louche donc.

Heiji et Akim avaient aidé la police à mettre en place des pièges un peu partout. Ils étaient au sommet d'un gratte-ciel, aucune chance donc pour le Kid de s'enfuir.

Miriam s'assit sur une chaise et ne bougea plus d'un centimètre.

- Tu es de la police, non ? demanda Akim. « Alors pourquoi ton fessier est sur ce dossier ? »
- Je ne suis pas dans ma préfecture, non ? répondit Miriam. « Et si tu es là pour t'occuper de Kid, qu'est-ce que TON fessier fait ici plutôt qu'avec les autres ? »

« Connasse. » pensa Akim.
« Bouffon. » pensa Miriam.

Plusieurs dizaines d'officiers de police en bouclier anti-émeutes s'étaient réuni autour de la vitrine et un peu partout dans la salle. Heiji et Akim étaient équipés de masques, au cas où.

Puis 23 heures venue, toujours rien. Les hélicoptères scrutaient le ciel sans la moindre nouvelle du célèbre voleur.

Afin de se "détendre", Akim se rendit aux toilettes, pour se rafraichir. Lorsqu'il s'approcha d'un cabinet, une main se posa sur son épaule... il avait cru d'abord voir Kid, mais son regard croisa celui de son acolyte.

- Shinkaito ?!

Doucement mais sûrement, Postine entra dans ce qui semblerait être une propriété abandonnée.
Elle s'infiltra à l'intérieur de la résidence, puis se dirigea vers son sous-sol.
Après avoir utilisé deux clés pour ouvrir deux portes différentes, elle retrouva son ami(e), qui l'attendait déjà depuis une heure. Retard y oblige.

La jeune fille déposa quelques courses et de l'eau.

- Tu es sûr qu'ici il n'y a aucun risque, Popo-chan ? demanda l'inconnu(e).
- Ouais, c'est juste le temps que Rum soit mis sur une autre piste.

Elle sourit.

- Allez, répondit Postine. « Ce sera vite terminé. »

Oula j'adore , toujours aussi génial O_O vivement la suite!

Nouvel arc, nouvelles problématiques, c'est cool. Vivement la suite. ^^

Shinkaito tu me le paiera :p

Toujours aussi incredible Eyto <3

Shinkaito plaça son doigt sur ses lèvres.

Akim était fou de rage. Il avait envie de lui coller une droite... à cause de lui, de ce voleur fantôme, et de Toichi Kuroba... Tantei était... morte.
S'ils n'avaient pas braqué cette "banque", elle serait encore en vie, car la police serait intervenu bien plus rapidement.

Il se retint. Il senti cependant l'envie lui monter en tête. Contrôler ses émotions, oui, il devait garder son calme.

- Ce n'est pas Kid qui a envoyé cette lettre, expliqua Shinkaito. « C'est un usurpateur. »
- Pourquoi te croirais-je ? Tu as braqué une banque, mec.
- Ça a mal tourné. Le bijou n'a pas été volé. Va savoir où il est. Je suis profondément désolé pour Tan-
- TU N'EST PAS DÉSOLÉ. Je n'ai pas envie de te parler. Ce n'est pas Kid, très bien, mais nous arrêterons quand même l'auteur de cette mascarade. Dégage, maintenant.

Les mots sont comme des épées, oui. L'amitié ne valait plus rien désormais.
C'était le sens que ce manga donnait à présent. Akim retourna dans la pièce centrale avec Heiji. Didi et Miriam étaient encore là.

L'autre "connasse" dormait sur son siège. Nakamori veillait. Et peu à peu, minuit approcha. À quelques secondes. Tout doucement, mais sûrement.

Vint alors une explosion dans la salle des machines. Le courant sauta, puis les vitres.

- FERMER LES VOLETS ! cria Hattori.

Les policiers s’exécutaient, la force du vent était tout de  même importante et la pluie battante rendait le sol humide.
Soudain, Miriam ouvrit les yeux et dégaina son arme.

Elle visa la petite vitrine. Puis tira.

- Qu'est-ce qui te prend ? s'écria Didi.
- Tout le monde à terre, ce n'est pas Kid.

« On a affaire à quelqu'un de très spécial, là. »

Le bijou venait de disparaitre sous leurs yeux. À tous. La pluie et le vent cessèrent de faire du remue méninge dans la pièce, quand les volets venaient enfin de se fermer.
Et la seule personne qui n'était plus dans la pièce était...

Hattori Heiji. Ses vêtements étaient au sol.

- Sur quoi as-tu tu tiré, au juste ? demanda Didi.

Miriam semblait totalement sous le choc.

« Ne me dîtes pas que leurs recherches scientifiques ont sont déjà au stade évolué ?! » pensa-t-elle.

Le projet Orion.

Elle en savait très peu. D'après Mel, même Jodie et James n'étaient pas au courant, puisqu'il s'agissait du savant fou Nijima qui s'occupait d'une machine à torture, composé d'unité.
Seulement... il y avait... l'unité 101.

Orion. C'était son nom. Une unité extrêmement puissante, capable de vous changer, entièrement. Mais personne n'avait jamais réussi à obtenir des informations supplémentaires.

- Tu me fais peur...
- Rentrons. Vite. Nous sommes tous en grave danger.


Nijima continua sa torture macabre. ME ne lâchait toujours rien.
Enfin, Rum entra puis s'avança vers le scientifique.

- J'ai ton bien. Ça coute cher ton projet.
- Je n'étais même pas au courant. C'est pour Orion ? Ça concerne le boss.

Rum analysa l'état de santé d'ME.

- Je croyais t'avoir demandé d'être plus courtois, avec mon invité.

Nijima avala de travers.

- Courtois. Pas agressive. Cour-tois. Ne comprends-tu donc pas ce simple mot ?
- Je dois le fa-
- SILENCE! cria-t-il.

ME s'endormit peu à peu. Il était dans un sale état mais n'avais toujours pas parlé. Sa discussion avec Eyto devait rester confidentielle et ne pas fuiter. C'était la clé.
Pour vaincre Rum, il devait se taire.

Il aurait le temps d'agir. Plus tard.

- L'enquête m'en a appris. Je te demanderais de faire attention, avec l'unité 101. Cette machine est encore faible. Prend en soin comme ton enfant.

« Quel taré ce bâtard. »

- Bien.

Rum quitta la pièce d'un pas lent.


Subaru sorti son téléphone portable. Il venait de recevoir un message d'Orie.

- Game begin... hein ? soupira-t-il.

Rum...
Cet homme en noir...
S'était installé à Beika.

Oh my God !!! Quelle changement de situation avec Heiji mais j'adore

( En retard mais bon --') Ouaaaaah j'adore ! Hâte de voir la suite !

Rum était à Beika.

Comment pouvais-tu dormir sur tes deux oreilles, en apprenant qu'un homme en noir des plus dangereux rôdait dans ton quartier ? Ça n'avait l'air de gêner personne, pour dire. Pourtant, il était sur la piste de Postine et de son mystérieux inconnu, caché... on ne sait où.

Certes, Amuro Toru, Bourbon... non Rei Furuya guettait lui aussi et transmettait ce qu'il savait, mais ce n'était pas suffisant. Orie ne savait rien, et par la faute de Midori, elle se retrouvait légèrement coincée, commençant peu à peu à être surveillé pour vérifier son appartenance à l'Organisation. Aucune info non plus sur Orion.

Sur ces mots, l'équipe "fans" s'était réuni au grand complet (manquait ceux qui se baladaient, où l'autre qui était torturé). Bien évidemment, et comme d'habitude, Eyto et Postine n'étaient pas là. Et Marie ne disait rien.

Didi, Akim, Miriam et Marie. Ils buvaient du thé autour de la grande table du salon. Méli n'était pas venue....



Et il y avait Mélanie. Mais l'état dans lequel elle était ne lui permettait VRAIMENT pas d'assister à cette réunion.

Sauf que malgré ça, elle venait de sortir de sa "pièce" sans que personne ne la remarque.

- Donc, concernant Rum et l'Organisation... déclara Didi.

Mélanie débarqua dans le hall avec une bouteille de whisky. Elle était totalement saoul.

- L'OrGaanIsatIon ça VeuT DiRE que vOus Etes ORGAnisay ? hurla-t-elle en tournant sur elle-même.

Didi cria de surprise.

- Putain quelle conne, je l'ai enfermé dans la cave à vins !
- Putain Cette OrGanisATIOn de FOLIIIIE HIPS!

Marie prit Mel par le bras.

- Allez. Allons dans la chambre, se reposer, hein, souffla-t-elle.
- On S'ORganISE une BOOM Badroom ? explosa Mél en faisant de grands signes.

Miriam soupira.

- Heureusement que je ne tiens pas d'elle.
- HEUREUSEMENT, souligna Akim.

Didi fronça les sourcils.

- Pour Rum... nous avons une information.


Les flocons de neige tombaient sur la ville, se déposant délicatement sur les toits et routes. Un drap blanc reposait sur la région. Ça n'empêcha pas Postine, méconnaissable car trop bien couverte du froid, de marcher dans une rue ambiante de Tokyo.

Étrangement, elle était accompagnée de Méli. Grâce à la jeune fille, et l'aide d'Orie, des informations et portait robot des membres de l'Organisation avait fuité. Nijima, Tynaria, Rum... sauf Anokata. C'était bien le problème.

Les deux jeunes femmes entrèrent dans une galerie marchande. Ils étaient là uniquement pour récupérer des affaires, comme le feraient des passantes ordinaires... mais le destin en décida une fois encore autrement.

- Qu'est-ce que... s'étonna Postine.

Méli écarquillèrent les yeux.

Les stores de l'entrée principale et des autres sorties se baissèrent. L'alarme ne se déclencha pas pour autant. Pourtant, quatre individus étaient armées et se lançaient maintenant dans un pillage massif des bijouteries et autres magasins.

Méli entraina Postine dans un coin à l'abri des regards, puis elle attira son attention sur une silhouette en particulière, qui sortait d'un couloir.

C'était Nijima.

Wow.

Ce chapitre était... Wow.

(Ça ne fait qu'une seule semaine ! Je suis choquée.) Vivement la suiiiiite !

" Je vol , Tout simplement"
Nan mais j'adore ! Vivement prochain chapitre

Ooh super !!! Mel ivre XD Et moi qui essaye de dire quelque chose sur Rum XD Une semaine...:O J'adore «...» pour Eyto :-P j'ai hate de lire la suite ;-)

Sur le coup, elles se cachèrent. Postine et Méli étaient mal.

Il y avait une chance que Nijima les voit. Ce serait mauvais pour eux, elles savaient qu'il était un scientifique fou de l'Organisation. En balayant la salle du regard, et après avoir compté le nombreux de braqueurs, la situation semblait peut-être pas si désespéré que ça. Méli reconnu Masumi Sera dans le tas, avec Ran, tandis que Postine abandonna l'idée de prévenir Subaru/Eyto, trop occupé en ce moment.

Elle pouvait blâmer la personne qu'elle cachait aux yeux de tous, c'était la principale raison de l'absence de certains. Mais d'un autre côté, il était aussi le seul à pouvoir contacter Orie puisqu'ils s'étaient rencontré. En la prévenant, peut-être pourrait-elle les aider ?

Postine tapota sur son téléphone. Silencieusement. Méli pouvait voir le petit texte qu'elle avait envoyé à son "Papouuuu~", demandant de prévenir Orie, la position des braqueurs, et l'endroit du braquage. La réponse fut immédiate et très courte : "Ok." Elle étira un sourire niais et ria intérieurement, il était si occupé que ça ?

L'autre solution aurait été Miriam, mais avec la police, c'était inutile d'espérer quelque chose. C'était l'Organisation, elle avait besoin de personnes s'y connaissant, et il n'y avait que Miriam dans la police qui était au courant.

- Qu'est-ce qu'on fait ? demanda Méli.
- Il a dû prévenir Orie. Je... je sais pas ce qu'ils vont faire. On devrait s'occuper d'un ou deux des hommes pour prêter mains fortes.

Méli acquiesça.

Postine, tout en restant accroupis, s'avança dans l'ombre d'un pas lent. Elle profita d'un moment de brouhaha pour attacher ses cheveux, lui permettant de ne pas être repéré par la faute d'une mèche tombante après une course. Méli suivait ses pas, tout en surveillant Masumi qui devait se retenir de pratiquer son Jeet Kune Do, à côté d'une Ran tout aussi excitée à l'idée d'envoyer au tapis ces hommes. Elles pourraient le faire, sans doute, quand la situation aura fortement évolué, dans l'autre cas elles seraient tuées.

Les deux jeunes filles prirent l'escalator. La vue était dégagée, et l'étage surplombait le rez-de-chaussée avec des vitres en guise de barrières, une magnifique petite galerie marchande. D'autres hommes étaient en haut, et pillaient ensemble les bijouteries et magasins d'alcools. Soit ils voulaient de l'argent, soit ils allaient picoler avec Mélanie.

Postine s'installa derrière le comptoir de la bijouterie à sa droite. D'un geste violent, elle mis KO un homme d'un coup de genou en plein estomac. Méli récupéré son pistolet mitrailleur.

- C'est bizarre. Le but de l'Organisation est tout de même de rester inconnu de tous. Pourquoi prendre de si gros risques ? s'étonna Méli.
- Et surtout, pourquoi s'armer ainsi ? Ce n'est pas leur genre de venir dans un lieu public armées jusqu'aux dents, compléta Postine.

Elles sourirent.

- Il y a sûrement une aile de l'Organisation connu exprès pour.

Seulement, le fait de s'être baladé simplement dans une bijouterie tout en mettant KO un homme déclencha l'alarme. Les braqueurs, en panique, s'étaient réunis à l'étage où finalement, Postine et Méli furent repéré.

Très vite, ce fut une émeute.

Tout le monde courait pour sortir le plus rapidement, tandis que la police arriva sur les lieux avec le rythme habituel -s'ils pouvaient venir avec le café et le donuts...-. Les deux jeunes femmes se tapèrent un sprint jusqu'à l'un des couloirs menant aux toilettes, évitant de justesse une pluie de balles. L'une d'entre elles toucha Méli au genou, qui trébucha et tomba en avant, mais à l'abri.

Postine tira son amie dans les toilettes.

- Ça va ? demanda-t-elle.
- Oui oui, rassura Méli. « Ça fait bizarre de se prendre une balle, je t'avouerais. »
Elle sourit.

« Oui... ça fait bizarre, quand on est pas habitué. » pensa-t-elle, avec un peu de regret.

Elles étaient cependant étonnées. Personne ne venait.

En dépassant sa tête des WC, elle put voir Masumi et Ran faire le ménage. Un hélicoptère survolait la zone. Et puis, en regardant vers le toit, qui était de base en vitre, désormais brisé, elle remarqua la présence d'un homme qui plongea des hommes en noir sur le toit dans un état de sommeil profond.

- Il est venu ? s'étouffa Méli, en respirant difficilement suite à la douleur.
- Ce n'est pas lui, répondit sa camarade.

« Il nous a envoyé un mercenaire ? » pensa-t-elle.

Tout se passait bien.

Masumi se sépara de Ran et se rendit dans les locaux du centre-commercial, où elle rencontra enfin Nijima qui tentait de s'échapper discrètement des lieux. Elle jeta son chapeau sur le bureau du directeur, en fermant la porte, puis se jeta sur sa cible.

Nijima para son coup. Le pied de la lycéenne toucha le bras du scientifique, qui la saisit de ses 5 doigts, avant de répliquer d'un coup dans les intestins.

- J'vais t'buter ! cria-t-elle.

Elle tenta de le toucher, mais ses coups de poing étaient esquivé de justesse. Il avait ce sourire moqueur sur le visage, qui l'énerva encore plus profondément que possible. Elle tenta un coup fatal, en grimpant sur son genou pour lui assimiler un coup violent.

Mais... il l'avait senti venir.

D'un geste aussi rapide que violent il balaya son unique jambe sur le sol et répliqua d'un coup de pied en pleine cote, suivit d'un coup sur le flanc droit. Masumi fut projeté sur la bibliothèque, puis tomba sur le sol, des livres d'alchimie -ou des romans à la con- s'écrasant sur sa tête.

- Tu as beaucoup de chance, Tantei-san. Je suis un homme occupé. Ne t'avise plus jamais de fourrer ton gros nez dans mes affaires ! averti-il.

L'adolescente tenta tout de même de se relever, mais sans succès. Elle ferma les yeux et se laissa guider dans un sommeil profond, épuisée, et blessé d'un combat difficile avec un homme dangereux.

Elle savait... qui ils étaient.

En quelques minutes, ils ne restaient plus grande trace de l'affrontement qui avait eu lieu dans le centre commercial, sous les dernières lumières fonctionnant encore. La police rédigea son rapport, et rapidement, ils furent tous évacué.

Comme elle s'en était douté, Orie avait bien été prévenu. C'était elle qui, sous un e-mail, avait envoyé un mercenaire. Elle aurait pensé que l'homme en question aurait suffi, mais peut-être que l'alarme avait finalement bien tout fait capoté. Méli observa, depuis l'ambulance, la rue. Elle pouvait voir la personne en question, quittant la scène depuis le carrefour suivant.

Elle soupira.

- Tu montes ? demanda Méli.
- J'ai des choses importantes à faire, désolé... mais je viendrai te voir plus tard ! promit-elle.
L'ambulance se dirigea maintenant vers l'hôpital, laissant Postine seule.

Sous l'influence de la colère, elle tapa son poing contre un lampadaire à proximité.

« Si ça continue comme ça... elle... elle sera... »


Il était minuit. La neige continuait de tomber sur la ville.

Certes, il y en avait bien moins qu'avant, puisque la chute de neige s'était calmé, mais cela pouvait être dérangeant. Ça n'empêcha pas pour autant Gin de rouler dans une rue qu'il connaissait très peu. Il patrouillait à Beika, devant une certaine résidence... celle de Kudo Shinichi, actuellement habité par Subaru Okiya.

Des hommes quittèrent la demeure, avant de monter dans un van. L'homme en noir, à bord de sa voiture de même couleur, reprit sa route difficilement.

- Il n'y avait rien, alors, Aniki.

Midori, alias Tynaria, soupira.

- Ce que tu peux être naïf. Ils sont justes parti.

Gin sourit sadiquement.

- Mais ils ont laissé un indice précieux. Le cheveu était bien tiré d'une perruque, et les empreintes sont bien réelles. Akai Shuichi et son collègue étaient bien ici il y a quelques heures encore, râla-t-il.

Tynaria semblait assez surprise.

C'était bien sa vaine. Gin agacé, c'était rare. Mais ce Akai devait être la seule personne réussissant à le mettre dans cet état, ça, c'était bien connu.

- Et Rum ? Où est-il ? demanda Vodka.

Gin haussa les épaules.

- Sûrement en train de se promener dans le coin, répondit Tynaria.

Ils n'avait pas remarqué que, depuis le toit de la maison du professeur Agasa, deux ombres les regardaient à présent s'éloigner. Une silhouette qui semblait féminine, et un homme qui devait sûrement avoir les mains dans les poches.

« Idiots... » pensa-t-il.

"Une silhouette qui semblait féminine, et un homme qui devait sûrement avoir les mains dans les poches." Seraisse.....
Bref j'adore toujours aussi bien génial ! J'attend vivement la suite

DAT CHAPITER.
J'approuve tellement.

UN AUTRE UN AUTRE UN AUTRE
<3

Je me demande comment tu fais :O

Mon papou est un vrai pro

J'adore beaucoup cette fic !

Yeaaah ! C'est trop bien !! (Wait, je finis à l'hosto. Je dois me réjouir?)

Anyway. Vivement la suite. \o/

Juste enorme ! Vivement la suite !

Merci pour tout vos commentaires, ça me faisait toujours autant plaisir (et ça me motive, je ne sais pas ce que les gens pensent, donc c'est encourageant ^^)
Chapitre 20. Déjà. On approche aussi de la fin de l'arc Rum O/ (bon encore un peu XD) et l'arc 4 le concerne toujours donc... bah c'est pareil XD
Bref. Enjoy !




Une voiture, qui dérapa dans un virage serré.

Les pneus en avaient pris un sacré coup. Ainsi que les passagers. Jodie, Marie, Postine et Katze qui avait, ENFIN, reprit forme humaine. Le coffre était tout simplement rempli d'armes, de munitions, et autres utilitaires. Il s'agissait là d'un gros coup.

- Rappelle-moi, Jodie, ce qu'on fiche dans cette bagnole ? demanda Katze.
- Je te préférais en chat.
- JODIE.
- Nous allons au centre d'investigation de la police secrète. C'est ici que, Mélanie moi et Eyto, nous nous rendons pour conclure des rapports.

Donc, il y avait une sorte de QG FBI au Japon, un peu en rapport avec la police secrète ? Problème, pourquoi s'y rendre avec une si grosse cargaison d'armes dans le coffre ?

Le lieu était-il pris en otage ? Ou bien, un attentat ? Le plus simple était encore de poser la question.

- Et ? Qu'est-ce qu'on va y faire ?

Jodie sourit.

- Watson. C'est un médecin légiste qui s’intéresse au cas de l'Organisation. Il y travaille et s'est occupé de l'analyse du sang de Tynaria, ainsi que des corps laissés par Eyto, le soir de la Blood Moon.

« La raison pour laquelle il a laissé les corps... ses réponses non donné... et son mercenaire mystérieux. Est-ce que... est-ce qu'il aurait ? » pensa Jodie.

- Et donc ? enchaina Katze.
- L'Organisation veut sa mort. Il s'est occupé de Rum. C'est lui qui est à l'origine de sa prothèse.

Katze fronça les sourcils.

En ce moment, il devrait être en train de se gratter le dos, de bouffer ses croquettes, et de se lécher les parties intimes avant d'aller s'occuper de la joue de Mélanie ou Postine. Sa soirée fouteur de merde était complètement gâché... pour un médecin ?

La voiture continua sa route au travers de la chute de pluie intense qui s'abattait sur la ville.

- Cependant, à mes souvenirs, l'étage des forces spéciales de cette section, dont le légiste Watson, est au 38ème, soit deux étages en dessous du toit, non ? demanda Katze.
- Oui, on va devoir être prudent. Si l'Organisation y est déjà, alors nous passerons pas les escaliers, expliqua Jodie.
- Et avez-vous pris en compte la possibilité qu'un hélicoptère soit présent ? ajouta Marie.

En effet, l'Organisation avait tout de même un budget assez imposant, permettant ainsi aux membres de haut grade d'effectuer des dépenses à l'étranger, ou même faire chanter l'armée et obtenir ce qu'ils voulaient, tout ça sans laisser la moindre trace. Les opérations de ses membres étaient de la division informatique et internationale, Tequila en faisait partie.

La voiture du FBI s'arrêta auprès d'un véhicule de police, Miriam devait être sur place. Effectivement, un hélico était déjà dans le ciel, et des coups de feu s'entendaient, à peine arrivée.
Jodie fronça les sourcils.

Ni une, ni deux, Marie et Postine s'étaient préparé et avaient suivi Jodie et Katze dans les escaliers, 37 étages plus hauts, les ascenseurs étant hors-service ou surchargé de bombes.

Le 37ème étage atteint, le courant était hors-service, et ce sont les lumières dites "de secours" qui étaient témoins d'un important échange de tir. D'un côté, deux ou trois agents avec des boucliers, de l'autre, une escouade entière d'hommes en noir.

Le toit devait être occupé par l'hélicoptère.

- Ce sont des agents qui pourront nous apprendre certaines choses si on les capture. Ne visez qu'en dessous de la ceinture, les jambes, ordonna Katze.

« Il prend des initiatives, et donne des ordres. « pensa Postine. « Il a changé, lui aussi. »

Le bureau de Watson, une grande baie vitrée la surplombait. Pas de doutes possible, il était lui aussi très respecté, ici. Mais où était-il passé ? Dans un moment pareil, qui plus est ?
Jodie sorti de ses pensées et répliqua aux tirs.

Les balles sortaient des canons, les coups de feu partaient dans tous les sens. Des bruits de grenades, sûrement flash, éclataient dans les couloirs.

- Ils s'enfuient par le toit ! cria Katze.
- Il y en a encore dans le bureau et...

Marie se tut.
Miriam.
Elle était prise en otage par l'un des hommes.

- LÂCHE LA ! cria Postine.

Un hélicoptère. L'appareil aérien se montra à la grande vitre, et, la force du vent la brisa en un millier de morceaux. Amuro Tooru était aux commandes, tandis que Shuichi Akai se montra au fusil de précision à l'arrière. Il y avait aussi la gamine.

- À 4 heures, l'informa l'enfant.
- Fffft, soupira Akai. « Je sais bien, je te l'ai déjà dit, inutile de me donner leur position. »
- Très bien, répondit-elle.

Il pressa la gâchette, et la balle tua l'homme sur le coup. Il n'avait pas eu le réflexe de tirer puisque la balle avait été soudaine.

- Amuro-kun et... Akai-kun ? s'étonna Marie.
- Sur le toit, vite ! s'écria Jodie.

Et là, Bourbon se fit plaisir.

Il utilisa la mitrailleuse, et tira. Les hommes tombaient sous l'impact des balles, grièvement blessé ou partiellement.

Jodie s'approcha de l'un d'entre eux, sur le sol. Elle aperçut finalement une silhouette, au bord du toit. Un oeil vert, un œil bleu. Il sourit davantage quand elle pointa son arme vers lui.
L'agent du FBI semblait très calme.

Katze observait la situation, tapis dans l'ombre, prêt à tirer si l'homme faisait le moindre faux mouvement. Il valait mieux préserver la vie de Jodie.

- Dare da, omae ? cria-t-elle. « FBI. »
- Rum. C'est mon nom de code, répliqua-t-il.

Il plongea sa main dans sa poche.
Katze sorti et tira immédiatement, seulement, l'ombre du toit avait totalement disparu. Le vent balaya la zone plus qu'autre chose, et Jodie fut stupéfaite.

- C'est... totalement impossible ?! susurra-t-elle.
- Il s'est... volatilisé ? grinça Katze.

La soirée se termina calmement, plongeant la ville dans un silence gênant...


Didi fut totalement déboussolée à l'annonce du FBI.

- Qu'est-ce que vous dîtes ? Ces hommes ont TOUS perdu la mémoire ?
- Le docteur Watson s'est occupé d'eux. Il est formel. Ils ont tous perdu la mémoire, et ne se souviennent de rien, expliqua James.

Marie fronça les sourcils.

« Qu'est-ce que ça veut dire ? »

Bon, toujours aussi magnifique. On attend la suite avec impatience.

Merci mon ME =)





Anokata s'était confortablement installé dans son siège noir, au bout de la table ronde.

Autour de celle-ci, des membres, ayant une bonne place dans l'Organisation. On y retrouvait Rum et Vermouth, puis Gin et Bourbon, puis Kir et Midori. C'était les derniers, même Vodka n'était pas autorisé à venir.

L'homme en noir, le mastermind, le plus grand boss d'Organisation criminel du Japon (et même du monde?) était bien là, en face, enveloppé dans une tunique noire. Pantalon, grande veste bouclée au ventre, avec un tee-shirt et même un bandana autour du cou... un vrai cow-boy. Il portait sa casquette, empêchant ainsi de voir ses yeux (et même la moitié de son visage), seul son sourire était visible.

Le silence était pesant. Il était tard. Minuit sonna, et un écran afficha la nouvelle date : 25 décembre.

- Joyeux Noël, tenta Rum.

Un petit rire étouffé, et des sourires. rien de plus. Ils étaient tous habitué à ne rien recevoir dans cette secte, ce complot géant, ce foutoir même quand on y réfléchissait.

- Mes informations me disent... déclara Anokata. « Qu'Akai Shuichi est en vie. »
- Impossible, souligna Vermouth.
- TU ME CONTREDIS ? cria Anokata.

Elle retint son souffle, puis fit signe de tête, pour répondre "non".

- Il était à bord d'un hélicoptère avec quelqu'un, et ont sauvagement tué mes hommes. C'est INACCEPTABLE.

Nijima entra dans la pièce.

- Vous vouliez me voir ?
- TOI. On va parler du projet Orion.
- C'est encore en élaboration.
- ALORS ACCÉLÈRE.

Nijima acquiesça puis serra les dents. Il quitta la pièce et se rendit dans le laboratoire.

Il traversa la grande salle, s'arrêta près d'un ME qui avait l'air... heureux dans son coin -mais couvert de sang-, et d'une violence sans précédent, Nijima envoya toutes les fioles et babioles de sa table de travail à terre. Cette partie du laboratoire lui était dédié, personne n'était là pour le déranger. 

Mais le vacarme avait quand même été entendu de l'aile voisine.

« Il a touché ma machine pour son projet. MA MACHINE. »
- Ton cadeau ne t'a pas plus ? ria ME.

Nijima fut immédiatement touché. Il serra les poings et approcha sa main d'un couteau. Le garçon était attaché, ses doigts avec.

Il s'empara d'une petite hache.

- Tu vas LA FERMER ?

D'un geste vif, il coupa l'annulaire de la main gauche du détective qui hurla de douleur sur le coup. Le sang gicla du doigt fraichement découpé, que Nijima du nettoyer pour que le liquide n'empiète pas son territoire.

ME semblait mi-conscient, mi-inconscient. Il ne pouvait rien dire.

- Recommence, et c'est la main. Recommence encore, et je te tue. Tu vas être le premier cobaye de l'unité 101, ça ne tiendrait qu'à moi, tu aurais testé l'unité 99 plusieurs fois avant de gouter la centième, qui te tue instantanément.

ME cracha du sang.

Nijima desserra légèrement sa main, il était un peu plus libre du côté gauche. Certes, c'était inutile, mais pas pour le détective, qui avait peut-être une idée en tête.

- Matte-moi ça, la technologie progresse si vite, la SCIENCE avance je dirais même. C'est FASCINANT.

Le torturé ria intérieurement.

- Qu'est-ce que ça veut dire ? s'étonna Didi. « Je ne vois pas en quoi cette télé nous sera utile. Ni même pourquoi vous avez installé toutes ces machines bizarre. »
- Bizarre hein ? Pourtant je t'assure qu'il y a un moyen de communication ouvert dans le manga, expliqua Postine.

« Ces rêves que je fais. Ces indications qu'on me donne. Est-ce possible qu'ils... qu'ils communiquent... »

Coup de tonnerre.

- Un orage... remarqua Akim.

- Il ne restera qu'environ 2 minutes au-dessus de nous, répliqua Postine.

Des petits bruits s'entendaient maintenant dans une radio, quand la foudre rasa le QG. Soudain, la télé afficha un écran brouillé, et une multitude de bruits -parasites- se firent entendre dans la radio. Postine s'approcha, et reconnut peu à peu des sons.

Un oiseau. Un courant d'air. Puis une voix.

L'appareil marchait à merveille, et pour fonctionner, il fallait qu'ils aient également un orage. Artificiel ou pas, qu'importait le contexte.

*Crrr cr...*

- Vous me recevez ? appela Postine, dans un micro près de la radio.
- Tu délires ! souffla Akim.

Il allait partir quand une voix retenti dans la radio.

- Popo-chan ?! Ah c'est bon de t'entendre !

Le jeune homme écarquilla les yeux.

- NESSA ? cria-t-il.
- Ne crie pas, le son... fort... ici ! corrigea-t-elle. « La communication ne va pas durer des lustres, les moyens sont faibles, l'essentiel d'abo- HEY...
...
- Oï, c'est Samus. Tout va bien ?
- Oui ! répondit Didi.

Bon. La situation semblait bonne.

- Je suppose que, comme je le pensais, vous vous êtes tous séparé ? demanda-t-il.
- C'est un peu compliqué, répondit Postine. « Il y en a au FBI, dans l'Organisation, dans l'ombre, des voleurs, etc... mais plus de personnes gentilles qu'autre choses. »
- Pas besoin de te demander qui est au FBI, je suppose, plaisanta Lolli.

« Ouais, sûr. » pensa Didi.

- Bon écoutez. Vous ne devez pas savoir combien de temps il s'est écoulé ici. Nous ne devons PAS voir les personnages du manga, et surtout, ne nous dites RIEN sur l'avancée de l'intrigue. À ce stade, vous devriez en être à l'arc de Rum.
- Oui.
- Bon. Dans une semaine, un portail devrait s'ouvrir ici, on a une équipe de scientifiques sur le coup, dans le silence pour éviter toute polémique. Vous aurez sûrement une chance de revenir.
- Attends... tu comprends pas ? On est tous dans des positions différentes, on a tous un point de vue, jamais on pourra se réunir. Et puis... Tantei a été tué.

Samus déglutit.

- Restez conscient de ce que... faites, précisa Claude. Ana applaudit sur le coup.
- Alors dans ce cas... finissez le manga. Qu'ANOKATA tombe, et s'il... principal suspect... ce ser-

*Crrr cr...*


- L'orage... il s'éloigne... soupira Didi.
- MERDE, explosa Akim. « Il allait nous dire un suspect. »

Postine sorti son téléphone portable et tapota un SMS.

- C'est pas le moment Postine, cracha Akim.

Aucune réponse.
La jeune fille s'était figé. Elle gardait son téléphone, serrant davantage celui-ci, dans sa main. Une goutte de sueur dévala sa joue.

« Il... il l'a compris... Rum... » pensa-t-elle, terrifiée.

...
From Eyto : La Dark Bullet te surveille.

PS :

...


Et la lune se dévoila enfin dans le ciel noir de Tokyo...

J'adore !!! C'est trop bien